Négociateur, intermédiaire, commissionnaire ou encore broker, ce sont des synonymes qui désignent généralement la profession de courtier. Il s’agit d’une personne physique ou morale qui joue le rôle d’intermédiaire entre une société et un client. Sa mission consiste surtout à assister le client afin qu’il puisse réussir la négociation d’un contrat. Ce dernier doit convenir à son profil et répondre à ses besoins particuliers.
Le courtier est aussi le professionnel qui intervient si jamais il y a un litige entre les deux parties contractantes même après la négociation du contrat. Pour éviter que cela arrive, il doit faire un suivi et accompagner son client pour voir si les clauses du contrat ont été bien respectées. Mais comme les offres en courtage sont de plus en plus nombreuses, comment choisir son courtier ?
Qu’est-ce qu’un courtier ?
Le courtier est un professionnel qui travail en tant qu’indépendant ou dans un cabinet de courtage. Il peut aussi être une personne morale.
Disposant les capacités nécessaires pour jouer le rôle d’intermédiaire entre deux parties (une société ou entreprise qui propose un service ou un produit et un client qui a une demande), il a pour mission de défendre les intérêts de son client.
Au début, le courtier Toulouse travaille dans le domaine de l’assurance uniquement. Désormais, son secteur d’activité est très varié. Il peut intervenir dans les travaux, les marchandises, le voyage, l’immobilier, la banque, etc.
Le salaire du courtier est constitué de commissions représentées en pourcentage déterminé au préalable.
Les compétences qu’un bon courtier doit avoir
Tous les courtiers doivent avoir au moins un bac + 2 dans son domaine d’activité. Ils doivent aussi avoir fait des stages pratiques dans des cabinets de courtage avant de prendre le poste.
Outre la question de diplômes, il y a aussi des qualités particulières qu’il faut vérifier avant de choisir son courtier Toulouse.
Son sérieux est la base de la réussite de son intervention. Pour le vérifier, il est nécessaire de s’informer sur ses réalisations ou de considérer les avis des personnes qui ont déjà collaboré avec lui. Cela permet de mesurer s’il est capable ou non de faire la négociation.
En tant que commercial, l’intermédiaire doit également avoir un sens de communication considérable. Son travail nécessite un bon dynamisme et une grande habileté. Comme il doit faire des analyses diverses que ce soit du côté de son client ou bien de l’autre contractant, un sens de l’écoute aigu est indispensable. Faire preuve de psychologie et être pédagogue lui seront nécessaire pour réussir la négociation. En cas de complexité, il doit être souple.
Hormis toutes ces qualités personnelles, un bon courtier doit aussi avoir une bonne maitrise d’une langue étrangère dont notamment l’anglais. Cela lui permet d’explorer les marchés au niveau international. Dans un tel contexte, la maitrise de la langue nécessaire pour la traduction ou la négociation est indispensable.
La disponibilité du courtier
Dans la majorité des cas, les courtiers les plus réputés sont des gros inscripteurs, c’est-à-dire qu’ils se font une spécialité de rassembler un très grand nombre de nouveaux clients. Ils sont donc hyperoccupés. Certes, c’est un atout puisqu’ils sont donc titulaires d’une certaine notoriété dans leurs domaines. Néanmoins, cela peut aussi être un contraint pour les clients.
Ce type de courtier spécialiste à Toulouse peut manquer de temps pour chacun de ses clients. C’est un inconvénient qu’il faut aussi considérer lors du choix d’un bon courtier. S’il n’a pas beaucoup de temps à consacrer à son donneur d’ordre, il ne pourra pas réellement écouter ses besoins et déterminer ses réels intérêts.
L’idéal pourrait donc être de choisir un courtier qui ne prend pas trop de mandats de vente et qui est plutôt disponible. A ce moment-là, le client doit se fier aux avis donnés par les autres clients qui ont déjà travaillé avec lui.
La rémunération du courtier
C’est connu : la concurrence est vive dans l’univers du courtage et cela, quel que soit le domaine. Néanmoins, il faut savoir que les taux de commission exigés par les firmes de courtage sont variables. Ils changent en fonction du marché concerné. D’ailleurs, il n’y a pas de règlementation légale sur le montant exact des frais de courtage. Toutefois, la loi stipule que cette redevance doit être définie au préalable. Comme elle est représentée sous forme de pourcentage, ceci doit être indiqué par le courtier et il se réfère au montant du prix de vente du contrat.
Cependant, il peut aussi avoir des frais accessoires lors de la négociation du contrat. Dans le domaine immobilier par exemple, les frais de financement, les frais de notaire et de cadastre, les droits de mutation, etc. sont aussi à la charge du client. En moyenne, le pourcentage varie entre 3 et 7 % de la valeur totale du contrat de vente ou d’achat. Le courtier professionnel à Toulouse peut accepter ou non les négociations des commissions.
Dans le cas de la location de biens immobiliers, des dispositions légales claires ont été mises en place. Elles exigent que les commissions ne puissent pas excéder deux loyers nets à froid plus la TVA.
Les services après-vente proposés par le courtier
La plupart des courtiers proposent des services après-vente pour attirer des clients. D’ailleurs, c’est important de les considérer car des problèmes peuvent encore survenir même après la signature du contrat.
Un bon courtier professionnel à Toulouse propose par exemple un accompagnement ou un suivi du dossier bien que sa principale mission s’achève à la signature du contrat. Ainsi, il pourra intervenir en cas de souci entre les deux contractants. Si jamais il y a manquement au respect des clauses du contrat par exemple, il apporte son soutien pour que son client puisse jouir de son droit. Il peut l’aider à formuler des requêtes pour l’annulation du contrat ou pour un dédommagement. Il ne doit se retirer que lorsque la situation de son client est adaptée à ses besoins.
Il faut aussi noter que faire appel à un courtier permet de jouir de la protection légale inscrite dans la Loi sur le courtage immobilier. Le courtier est en effet, tenu de faire une souscription au Fonds d’indemnisation du courtage immobilier. C’est une sorte de protection pour le client contre le détournement de fonds, la fraude, etc.
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